Jazz Correia (JLC Family) : Son identité usurpée sur Snapchat, elle met en garde sa communauté

Entre Snapchat et Jazz Correia, c’est de l’histoire ancienne. En effet, alors qu’elle faisait partie des influenceuses les plus suivies sur le réseau social, la jeune femme a vu son compte supprimé par les modérateurs. En cause, ses multiples stories régulières dans lesquelles elle faisait la promotion du trading, désormais interdite sur Snapchat. Un coup dur pour Jazz, qui vit principalement de ses placements de produits. D’autant plus que son mari, Laurent Correia, a également été banni du réseau.

La mère de famille s’était exprimée dans les colonnes du Parisien à ce sujet :

Après avoir créé un second compte qui sera lui aussi supprimé au bout de quelques jours, Jazz a finalement jeté l’éponge et décidé de se rabattre sur Instagram.

Jazz Correia de retour sur Snapchat ?

Ce vendredi 28 janvier 2022, un nouveau compte au nom de Jazz a fait son apparition sur le réseau social au logo jaune et blanc. Immédiatement mise au courant par sa communauté, Jazz s’est empressée de mettre les choses au clair en prenant la parole sur Instagram. Non, elle n’a pas fait son retour Snapchat et il s’agit d’un compte fake qui usurpe son identité :

Celle qui vient d’accoucher de son troisième enfant a ajouté qu’elle allait également mentionner les modérateurs de Snapchat dans sa story puisque ses réclamations restaient pour le moment sans réponse.

Un train de vie réduit ?

Depuis leur emménagement en 2018 à Dubaï, Jazz et Laurent Correia avaient pris l’habitude de partager leur vie de soi-disant millionnaire sur les réseaux sociaux. Voitures de luxe, vêtements de grandes marques, villa de rêve, tout était bon pour en mettre plein les yeux à leurs abonnés.

Mais depuis son bannissement de Snapchat, il semblerait que le couple ait été obligé de diminuer son train de vie. Jazz admettait en décembre dernier, toujours pour Le Parisien, ne plus avoir les mêmes rentrées d’argent :

Il y a quelques jours, Jazz Correia adressait un message bien senti aux personnes qui lui devaient de l’argent.