Rivières. Le trio Vibrato chante Noël, la joie et la paix dimanche

Dimanche 19 décembre, à 15 heures, dans l’église de Rivières, trois interprètes lyriques donneront un concert de Noël. Mona Bersi a rayonné dans la région pendant des années, avec son partenaire Marco, offrant en duo un répertoire varié, des grands airs d’opéra aux tons plus légers de l’opérette et même de la chanson populaire. Le décès brutal de Marco aurait pu casser définitivement l’élan de Mona, mais le plaisir du chant, gravé dans son ADN, et l’attrait de la scène ont été plus forts que le deuil. Mona a trouvé deux partenaires de talent qui partagent son enthousiasme, et, au prix de longues répétitions, elles se produisent et rencontrent sur leur passage des salves d’applaudissements et de remerciements. Elles revisitent un répertoire de légende, rafraîchissent la mémoire, font redécouvrir la magie de Noël et donnent l’envie de fredonner avec elles. Dimanche, les trois Vibrato composeront une après-midi en deux parties. Mona donnera le ton sur la valse n. 2 de Chostakovitch, avec ses propres textes sur la protection de la planète, suivie par Alycia sur l’Alléluia de Léonard Cohen et des textes composés par les Prêtres. Puis viendra le tour de Jeanne sur la sarabande de Haendel, chantée en grec.

Jeanne et Mona se retrouveront en duo sur l’Enfant au tambour, précédant Alycia sur Amazine Grace, un chant de Noël irlandais. Mona entonnera Inch’Allah, pour une réconciliation des religions et de peuples d’Orient. Alycia (C’est beau la vie), puis Mona et Jeanne, sur un Noël martiniquais, concluront ce premier acte. A la reprise on aura une pensée pour Joséphine Baker (J’ai deux amours). Suivront Pays de rêve, Offenbach (Barcarole), Schubert et son Ave Maria, Douce Nuit, Minuit Chrétien, Mille Colombes et la chanson des Restos du Cœur. Parions que le public ne sera pas en reste pour reprendre ces airs qui ont fait chanter et qui ont enchanté des générations. Les Vibrato sont de retour, pour subjuguer leur public, pour montrer que le plaisir de chanter et d’entendre n’a ni âge ni frontière.